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Monday, February 24, 2014

Maurice Scève ou de Nostradamus, de grands traités scientifiques, des récits de voyages, etc.) À

made sense, and actually we s Ebony, Popular Mechanics42,43.
Accord avec la bibliothèque municipale de Lyon[modifier | modifier le code]
Gérard Collomb, maire de lyon (PS), donne son feu vert le 11 juillet 2008 pour que Google engage la numérisation d'ouvrages patrimoniaux de la Bibliothèque municipale de Lyon, qui est la deuxième de France (1,3 million de titres)44. C'est le premier accord avec une bibliothèque française, et le vingt-neuvième dans le monde. D'une durée de 10 ans, il porte sur les livres tombés dans le domaine public, soit entre 450 et 500 000 ouvrages imprimés entre le XVIe et la fin du xixe siècle (ce qui inclut des impressions rares lyonnaises de Maurice Scève ou de Nostradamus, de grands traités scientifiques, des récits de voyages, etc.) À cette occasion, Google implante son premier site local de scanner en France, dans la banlieue lyonnaise, pour un investissement qui pourrait s'élever à 60 millions d'euros - et permettrait d'atteindre le rythme de 2 000 livres scannés par semaine45. L'entreprise « s'engage à prendre à sa charge, sans contrepartie financière, la numérisation et la mise en ligne d'une collection de 450 000 ouvrages imprimés au minimum et de 500 000 ouvrages imprimés au maximum, dans un délai de dix ans au maximum […] Les ouvrages sont sélectionnés par la Bibliothèque […] uniquement parmi ses ouvrages imprimés et libres de droits »45. L'échange consiste donc en un prêt de livre, en contrepartie d'une copie des fichiers produits, avec à la clé pour Google une exclusivité commerciale sur les fichiers pour 25 ans.
L'accord fait l'objet de critiques diverses ; le rapport Tessier sur la numérisation du patrimoine écrit souligne ainsi que « l'autonomie de Lyon ne sera acquise qu'à l'issue de la période d'exclusivité de 25 ans prévue par l'accord »46. Jean-Claude Guédon, membre de l'Internet Society, condamne plus fermement cette opération qu'il qualifie de « hold-up culturel »47, ce qu'il justifie par les conditions de distribution des fichiers imposées à la bibliothèque (la Ville de Lyon peut en effet « permettre le téléchargement gratuit des images numérisés d’un ouvrage à partir de sa propre bibliothèque numérique, en tout ou partie, à condition que ce soit à l’unité, pour un usage individuel») :
« La numérisation à la Google est un piège. En effet, le document numérisé demeure la propriété de Google et la bibliothèque impliquée doit empêcher tout autre moteur de recherche autre que Google d'indexer sa collection numérisée. En d'autres mots, Lyon pourra consulter la version indexée en interne, et ne pourra exposer au reste du monde que du "papier numérique" (pages images). Il est vrai que nous aurons ainsi accès à des milliers de pent probably five years trying to convince people that it was possible a

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